Journée thématique en pédopsychiatrie: « Souffrance autour du berceau : la place de la pédopsychiatrie »

Journée thématique en pédopsychiatrie: « Souffrance autour du berceau : la place de la pédopsychiatrie »

L’équipe pluridisciplinaire du Service national de pédopsychiatrie de la KannerKlinik a le plaisir de vous inviter à sa journée thématique : 
 

« Souffrances autour du berceau, place de la pédopsychiatrie »
 

En référence à l’approche thérapeutique des troubles de la parentalité et des relations précoces, seront présentés, entre autres, le modèle et les pratiques cliniques de l’unité petite enfance au service de pédopsychiatrie du CHL.
 
Journée de formation continue pour professionnels organisée par le Service national de pédopsychiatrie - Centre Hospitalier de Luxembourg
 
 

WEBINAIRE le vendredi 4 mars 2022, de 09h00 à 17h00

 

PROGRAMME:

  • 9h00 : Accueil

  • 9h15: Mot d’accueil - Dr Didier VAN WYMERSCH, médecin directeur du Pôle « femme, mère, enfant », CHL.

  • 9h30: Introduction de la journée - Mme Elsa DO CARMO, soignant directeur du Pôle « femme, mère, enfant », CHL.

  • 9h45: Encadrement psychologique en périnatalité : Historique - Mme Sylvie LANGERMANN, psychologue, psychothérapeute, responsable néonatalogie et maternité, CHL / Dr Jean-François VERVIER, pédopsychiatre, psychothérapeute, Unité « petite enfance », Service national de pédopsychiatrie, CHL.

  • 10h45: Pause

  • 11h00: Partage d’une expérience de 20 ans de soins des relations précoces en psychiatrie - Dr Heidy ALLEGAERT, psychothérapeute, psychanalyste, formatrice au GECFAPPE (formation thérapeutique parents-bébé), directrice médicale de « Fil à Fil », service ambulatoire qui accueille les parents et leurs bébés de 0 à 3 ans en difficultés psychiques, ISOSL, Liège.

  • 12h30: Pause

  • 13h30: L’échelle de Brazelton : « Un temps pour regarder bébé et le rencontrer » - Mme Karine VISCONTI, infirmière en maternité, CHL

  • 14h15: Présentation du « Modèle d’intervention parent-bébé de l’unité petite enfance. Indications cliniques, psychopathologie du nourrisson et collaboration avec le service de psychiatrie » - Dr Catherine AVAUX, pédopsychiatre, psychothérapeute, psychanalyste, Unité « petite enfance », Service national de pédopsychiatrie, CHL / Dr Annette MUHE, psychiatre, psychothérapeute, service de psychiatrie, CHL.

  • 15h00: Pause

  • 15h15: « L’observation libre » - un outil original en Pédopsychiatrie. Repérage des ressources et des fragilités du jeune enfant dans son ouverture au monde - Mme Delphine PLUMIER et Mme Michelle SIMON, psychomotriciennes, Unité « petite enfance », Service national de pédopsychiatrie, CHL.

  • 16h00: Table ronde

  • 16h45: Mot de la fin - Dr Catherine AVAUX

 

INSCRIPTION:

Frais d’inscription au webinaire : 65€ à verser sur le compte du Centre Hospitalier de Luxembourg / IBAN: LU67 1111 0000 5252 0000 / BIC: CCPLLULL / Communication: STAT-0000054 + Votre nom / prénom.

Inscription via le formulaire d'inscription en ligne disponible ici.

Un lien zoom vous sera envoyé par e-mail dès réception de votre paiement.

Le personnel du CHL est invité à s'inscrire via les RH - Formation continue

 

Cette journée est une formation professionnelle, reconnue par le Ministre de la Santé. Une attestation de formation pourra vous être fournie sur demande. 

 
 
Journée thématique en pédopsychiatrie

Journée thématique en pédopsychiatrie

L’équipe pluridisciplinaire du service national de pédopsychiatrie de la KannerKlinik a le plaisir de vous inviter à sa journée thématique : 
 

« Souffrances autour du berceau, place de la pédopsychiatrie »
 

En référence à l’approche thérapeutique des troubles de la parentalité et des relations précoces, seront présentés, entre autres, le modèle et les pratiques cliniques de l’unité petite enfance au service de pédopsychiatrie du CHL.
 
  • Vendredi 4 mars 2022, de 09h00 à 17h00
  • Amphithéâtre CHL Centre - 4, rue Ernest Barblé, L-1210 Luxembourg
 
Le programme détaillé sera publié prochainement.
Cette journée sera reconnue comme journée de formation continue.
Retard de croissance intra-utérin

Retard de croissance intra-utérin

SAVEZ-VOUS CE QUE SIGNIFIE LE RETARD DE CROISSANCE INTRAUTÉRIN (RCIU)

Si durant les premières semaines de grossesse tous les foetus grandissent de la même façon, bien vite chacun développe sa propre courbe de croissance.

L’important est que le bébé grandisse de façon continuelle et harmonieuse tout au long de la grossesse tout en restant à l’intérieur de seuils fixés. Le retard de croissance intra-utérin correspond à une croissance insuffisante du foetus par rapport aux courbes de référence. Il est difficile de diagnostiquer un retard de croissance de l’extérieur et il y a peu de corrélation entre la taille du ventre de la maman et la taille réelle du bébé. C’est l’échographie qui permet donc d’évaluer une estimation du poids de l’enfant.
 

HYGIÈNE DE VIE À DOMICILE

Une fois de retour à la maison, une attitude semblable à celle de votre hospitalisation doit être envisagée. Nous vous conseillons de vous réserver des moments dans la journée dédiées au repos, mais il va falloir bouger aussi pour favoriser le flux d'oxygène par le placenta vers le foetus, ceci est aussi un traitement du RCIU. Privilégiez la position allongée latérale gauche qui favorise la circulation placentaire.

Des activités légères sont permises, aussi à l’extérieur, par contre les longs voyages en voiture sont déconseillés et seront à discuter avec votre gynécologue en cas de réelle nécessité.

Le stress diminue la perfusion placentaire. Avant de rentrer à la maison, il faut avoir géré tous les soucis organisationnels (garde des autres enfants, arrêt ou aménagement du travail, tâches ménagères, organisation structurelle de la maison,…). Selon vos besoins, nous pouvons faire appel au service social, qui peut revoir avec vous, vos droits et aides auxquels vous pouvez prétendre.

Une alimentation fraîche, saine et équilibrée est fortement recommandée.


CONNAISSEZ-VOUS VOTRE TRAITEMENT ?

Le traitement se fait en fonction des prescriptions de votre médecin. Il faudra veiller avant votre départ à vous fournir les médicaments nécessaires. Le personnel médico-soignant vous expliquera comment et quand les prendre ainsi que la surveillance nécessaire à chaque médicament.


QUAND FAUT-IL REVENIR À L’HÔPITAL EN URGENCE ?

Le bien-être de votre bébé est surveillé régulièrement par votre médecin. Mais c’est vous qui connaissez le mieux votre bébé et votre avis compte. Rendez-vous à l’hôpital :

  • Lors de la diminution des mouvements foetaux.
  • Lors de contractions utérines avant 36 semaines d’aménorrhée.
  • Lors de contractions utérines régulières, douloureuses et qu’elles apparaissent toutes les 5 à 10 minutes pendant 1 heure. S'il s`agit d`un retard de croissance in utéro, venez après 30 minutes de contractions régulières.
  • Lors de pertes de liquide (rosées, sanglantes, jaunes, vertes, pertes liquidiennes incolores comme de l'eau).
  • Lors de pertes de sang.
  • Lors de pertes vaginales malodorantes.
  • Lors d'une chute ou d'un accident ayant entraîné un choc au niveau de votre ventre.
  • Lors de toute altération dans votre état général. (fièvre >38°C, céphalée, barre épigastrique, hypertension artérielle,...).
  • Lorsque vous êtes inquiète, quel qu’en soit le motif.

 

QUELLES SONT VOS RESSOURCES ?

Si vous devez vous rendre à l'hôpital et que votre mari n'est pas présent, faites appel à un membre de votre famille, un ami, un voisin et si cela n'est pas possible et que votre état le permet, vous pouvez faire appel à un taxi. Evitez les transports en commun. Si c'est urgent, faites appel à l'ambulance.

Afin de respecter le repos préconisé, n'hésitez pas à vous faire aider dans votre cercle familial ou amical si cela est possible.

Si vous avez des questions, vous pouvez contacter votre gynécologue, votre sage-femme libérale ou bien encore la Maternité.

Services associés
Toxémie gravidique/éclampsie

Toxémie gravidique/éclampsie

DÉFINITION

La pré-éclampsie ou toxémie gravidique est une maladie caractérisée par l'association d'une hypertension artérielle (HTA) >15/10 cm Hg, d'une protéinurie, d'une prise de poids avec oedèmes. Elle est plus fréquente en cas de grossesse gémellaire et de première grossesse.

L'éclampsie ou hellp syndrome fait suite à la prééclampsie. C'est une crise convulsive typique survenant au 3ème trimestre de la grossesse, au cours du travail, ou après l'accouchement, et associée à une hypertension artérielle. Les vies de la mère et du foetus sont en danger.
 

QUELS SONT LES SIGNES ASSOCIÉS ?

  • Une fois installée la toxémie est présente jusqu’à la fin de la grossesse. Nous avons donc l'apparition d'HTA > ou = à 15/10 cm Hg, d'une protéinurie et d'une prise de poids avec des oedèmes qui peuvent être associés à des céphalées, des phosphènes, des acouphènes, une diminution de la diurèse, une dyspnée et/ou une barre épigastrique.
  • La toxémie peut également altérer de nombreux organes maternels comme notamment le foie ou les reins. Des prises de sang révélant de leur fonctionnalité et de leur degré d’atteinte sont alors pratiquées. Leurs résultats peuvent modifier de façon immédiate notre prise en charge. Notamment, la poursuite de la grossesse peut en dépendre.
  • Vous pouvez aussi ressentir une diminution des mouvements foetaux qui pourraient montrer une altération de son état.
     

ENSEIGNEMENT/ HYGIÈNE DE VIE À DOMICILE

Une fois votre retour à domicile, une attitude semblable à celle de votre hospitalisation doit être envisagée.

Vous connaissez l’état irréversible de votre pathologie et la limite de la normalité des signes cliniques. Vous devez surveiller votre poids, l'apparition d'oedèmes, de céphalées, d'acouphènes (bourdonnement d’oreilles), de phosphènes (mouches devant les yeux) et d'une barre épigastrique.

Dans certains cas, votre médecin vous prescrit une surveillance tensionnelle à la maison. Pour plus d'informations, référez-vous à l'équipe médico-soignante.

Nous vous conseillons de vous réserver des moments précis dans la journée dédiés au repos.

Les positions de repos adaptées doivent éviter un étirement ligamentaire de la région abdominale. Privilégiez le décubitus latéral gauche, la position en chien de fusil, arrondissez et soutenez votre dos. Pour la position semi-assise à 35°, surélevez légèrement votre bassin pour éviter la pression sur le col. Favorisez l’utilisation de coussins sous les genoux et surélevez vos membres inférieurs afin de diminuer l'apparition des oedèmes. Il est fortement déconseillé de faire de long voyage en voiture et de porter des charges lourdes. Il est important d'avoir une bonne hygiène intime, minimum une fois par jour. Préférez les savons sans parfum et à pH neutre. Nous vous demandons également de surveiller vos pertes vaginales. Celles-ci peuvent augmenter et devenir plus liquide en fin de grossesse. Si vous observez des pertes sanglantes, elles peuvent être le témoin d'une modification cervicale. Des pertes mal odorantes peuvent faire suspecter une infection. S'il s'agit de pertes de liquide (claires, jaunes, vertes), cela peut être du liquide amniotique. Quoi qu'il en soit, vous devez prévenir le gynécologue ou la sage-femme. Le stress peut induire de l'hypertension. Avant de rentrer à la maison, il faut avoir géré tous les soucis organisationnels (garde des autres enfants, arrêt ou aménagement de travail, tâches ménagères, organisation structurelle de la maison...) Selon les besoins, nous pouvons faire appel au service d’assistance sociale qui peut revoir avec vous les droits et aides auxquels vous pouvez prétendre.

Toutes patientes alitées développent, dans les jours qui suivent leur hospitalisation, une gène intestinale, des crampes, voire des douleurs abdominales liées à la constipation. Pour prévenir cela, il faut s'hydrater. De plus, l'apport hydrique contribue à la prévention des infections urinaires. En fonction de votre situation, certains apports alimentaires peuvent aussi vous aider (eau riche en magnésium, pruneaux, manger riche en fibres, cuillère d'huile, suppositoire de glycérine,...) En cas de toxémie, on pourra peut être vous demander de manger un régime pauvre en sel.

La sexualité peut être envisagée sauf contre-indication médicale.


CONNAISSEZ-VOUS VOTRE TRAITEMENT ?

Le traitement se fait en fonction des prescriptions de votre médecin. Il faudra veiller avant votre départ à vous fournir tous les médicaments nécessaires. Le personnel médico-soignant vous expliquera comment et quand les prendre et la surveillance nécessaire à chaque médicament.


QUAND DEVEZ-VOUS VENIR À L'HÔPITAL ? EN URGENCE ?

Pour la toxémie les motifs de consultation en urgence sont :

  • Si vous avez un tensiomètre à la maison et que celui- ci vous donne une tension supérieure à 15/10 cm Hg à plusieurs reprises.
  • Si vous avez des oedèmes.
  • Si vous prenez du poids de façon anormale.
  • Si vous présentez :
    • Des maux de tête.
    • Des bourdonnements dans les oreilles.
    • Des phosphènes « mouches devant les yeux ».
    • Une barre épigastrique.
    • Une difficulté respiratoire.
  • Si vous avez remarqué une diminution de votre quantité d’urines.

En dehors de la toxémie, vous devez également consulter pour les motifs suivants :

  • Contractions utérines (CU) avant 36 semaines d’aménorrhée.
  • CU régulières, douloureuses toutes les 5 à 10 minutes pendant 1 heure.
  • Pertes de liquide (rosées, sanglantes, jaunes, vertes).
  • Pertes de sang rouge, comme des règles.
  • Pertes vaginales malodorantes.
  • Chute ou accident ayant entraîné un choc au niveau de votre ventre.
  • Altération dans votre état général (fièvre >38°C, céphalée, barre épigastrique, hypertension artérielle,...).
  • Sensation que le bébé bouge moins ou plus du tout.
  • Inquiétude quel qu’en soit le motif.


QUELLES SONT VOS RESSOURCES ?

Si vous devez vous rendre à l'hôpital et que votre mari n'est pas présent, faites appel à un membre de votre famille, un ami, un voisin et si cela n'est pas possible et que votre état le permet, vous pouvez faire appel à un taxi. Evitez les transports en commun. Si c'est urgent, faites appel à l'ambulance.

Si vous avez des questions, vous pouvez contacter votre gynécologue, votre sagefemme libérale ou bien encore la Maternité.

Services associés
Cholestase gravidique

Cholestase gravidique

SAVEZ-VOUS CE QU'EST LA CHOLESTASE GRAVIDIQUE ?

La cholestase gravidique est, comme son nom l'indique, une maladie du foie transitoire qui se déclenche chez la femme enceinte. La cholestase est une maladie dans laquelle les hépatocytes (=les cellules spécialisées du foie), laissent passer les acides biliaires dans le sang plutôt que dans la bile. En général, la cholestase gravidique se déclenche au troisième trimestre de la grossesse. Les symptômes sont en général des démangeaisons intenses sur les mains, les pieds augmentant le soir et la nuit. Elle ne doit pas être prise à la légère, car elle peut être très nocive pour le foetus.


HYGIÈNE DE VIE À DOMICILE

Il est important d'éviter tout stress ou cause d'anxiété. Écoutez votre corps et reposez-vous lorsque vous en avez besoin. Une alimentation fraîche, saine et équilibrée
est recommandée.

Le repos fait partie intégrante de votre traitement, faites attention au surmenage. Ne reprenez pas immédiatement toutes vos activités quotidiennes. Faites vous aider à la maison, si cela est possible.


CONNAISSEZ-VOUS VOTRE TRAITEMENT ?

Le traitement se fait en fonction des prescriptions de votre médecin. Il faudra veiller avant votre départ à vous fournir tous les médicaments nécessaires. Nous vous donnerons avant votre sortie une ordonnance médicale. Le personnel médico-soignant vous expliquera comment et quand prendre vos médicaments ainsi que la surveillance nécessaire lors de la prise de ces derniers. De l'acide ursodésoxycholique peut être prescrit, car il diminue les démangeaisons et le taux d'acides biliaires.

Compte tenu des risques encourus par le foetus, les femmes enceintes touchées par la maladie doivent être surveillées de près. Des tests sanguins sont réalisés régulièrement pour évaluer la concentration en acides biliaires dans le sang. L'état de santé du bébé est également analysé grâce à des monitorings réguliers, qui permettent de connaître son rythme cardiaque et de détecter un état de stress foetal.

Pour éviter les complications maternelles et foetales, les médecins pourront envisager un déclenchement du travail avant le terme prévu.

Un suivi plus régulier sera réalisé (consultation avec votre gynécologue, contrôle cardiotocogramme (CTG), échographies, bilans sanguins...).


QUAND DEVEZ-VOUS VENIR À L'HÔPITAL ?

N'hésitez pas à consulter votre gynécologue ou venir à la maternité :

  • Si vos symptômes (démangeaisons) s'aggravent ou réapparaissent.
  • Si vous avez une altération de votre état général (fatigue, sensation de mal-être,…
  • Si vous ne sentez moins OU plus votre bébé bouger.

En dehors de la cholestase gravidique, durant une grossesse, vous devez également consulter pour les motifs suivants :

  • Lors de contractions utérines avant 36 semaines d’aménorrhée.
  • Lors de contractions utérines régulières, douloureuses et qu’elles apparaissent toutes les 5 à 10 minutes pendant 1 heure.
  • Lors de pertes de liquide (rosées, sanglantes, jaunes, vertes, pertes liquidiennes incolores comme de l'eau).
  • Lors de pertes de sang.
  • Lors de pertes vaginales malodorantes.
  • Lors d'une chute ou d'un accident ayant entraîné un choc au niveau de votre ventre.
  • Lors de toute altération dans votre état général. (fièvre >38°C, céphalée, douleur abdominale diffuse, hypertension artérielle,...).
  • Lorsque vous êtes inquiète, quel qu’en soit le motif.


QUELLES SONT VOS RESSOURCES ?

Si vous devez vous rendre à l'hôpital et que votre mari n'est pas présent, faites appel à un membre de votre famille, un ami, un voisin et si cela n'est pas possible et que votre état le permet, vous pouvez faire appel à un taxi. Evitez les transports en commun. Si c'est urgent, faites appel à l'ambulance.

Afin de respecter le repos préconisé, n'hésitez pas à vous faire aider dans votre cercle familial ou amical si cela est possible.

Si vous avez des questions, vous pouvez contacter votre gynécologue, votre sage-femme libérale ou bien encore la Maternité.

Services associés
Le CHL coordonne une étude pilote sur le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale chez l’enfant

Le CHL coordonne une étude pilote sur le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale chez l’enfant

« EARLIE » est le nom d’une étude pilote sur l’hypercholestérolémie familiale (FH) qui vient d’être lancée au Luxembourg. Menée sous la coordination des Drs Marianne Becker et Carine De Beaufort, médecins spécialistes en pédiatrie, endocrinologie et diabétologie à la Kannerklinik du Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), cette étude vise à offrir une analyse du bilan lipidique à tous les enfants scolarisés dans les écoles primaires de la Ville de Luxembourg. L’objectif de l’étude est de pouvoir identifier les enfants souffrant d’hypercholestérolémie familiale et qui sont, par conséquent, à risque accru de développer une maladie cardiovasculaire au cours de leur vie. En identifiant les enfants avec cette maladie génétique, on espère en plus détecter les membres de famille atteints. Vu qu’il s’agit d’une maladie autosomique dominante (un parent de chaque enfant atteint est également touché, ses frères et sœurs ont un risque de 50%), on espère les trouver avant que les complications cardiovasculaires se présentent chez eux.

Les parents d’enfants scolarisés dans les écoles primaires de la Ville de Luxembourg ont reçu/vont recevoir prochainement des documents de présentation de cette étude pilote et un formulaire de consentement, afin que leurs enfants puissent déjà participer à ce dépistage de l’hypercholestérolémie familiale d'ici jusqu'à la fin de l'année scolaire 2022/2023. 

L’étude pilote sur l’hypercholestérolémie familiale est financée par la Fondation Cœur-Daniel Wagner et soutenue par la Direction de la Santé, le Service de Médecine Scolaire de la Ville de Luxembourg, le Cercle des médecins généralistes, la Société Luxembourgeoise de Cardiologie, la Société Luxembourgeoise de Neurologie et la Société Luxembourgeoise de Pédiatrie. 


L’hypercholestérolémie familiale est une maladie génétique qui se caractérise par un taux trop élevé de cholestérol dans le sang. Si elle n’est pas traitée suffisamment tôt, cette maladie insidieuse augmente fortement le risque de développer des maladies cardiovasculaires (crise cardiaque, accident vasculaire cérébral) à l’âge adulte jeune. 

Souvent méconnue, l’hypercholestérolémie familiale ne doit pas être confondue avec l’hypercholestérolémie qui apparait plus tard, vers l’âge de 45-50 ans, et qui est beaucoup plus fréquente au sein de la population. Dr Carine De Beaufort précise : « l’hypercholestérolémie familiale est une maladie héréditaire (les enfants d’une personne atteinte de HF ont un risque de 50% d’être atteints) qui touche 1 personne sur 250. Aujourd’hui, 9 patients sur 10 ne savent pas qu’ils sont atteints d’hypercholestérolémie familiale. »

Dépister dès l’enfance pour prévenir les complications cardiovasculaires à l’âge adulte

Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Luxembourg. Dr Marianne Becker revient sur l’intérêt de mener cette étude pilote pour prévenir ces maladies dont l’hypercholestérolémie est un facteur de risque majeur : « Il est essentiel que l’hypercholestérolémie familiale soit dépistée chez les enfants jeunes (avant la puberté), au moyen de quelques gouttelettes de sang, ceci afin d’instaurer rapidement un traitement médicamenteux permettant de réduire le taux de cholestérol dans le sang. Il sera dès lors possible de prévenir les anomalies vasculaires et d’agir favorablement sur l’espérance de vie de ces enfants atteints de cette maladie génétique. Identifier ces enfants, c’est aussi dépister par la même occasion leurs parents qui sont encore jeunes et chez qui on espère pouvoir prévenir l’apparition d’une crise cardiaque ou d’un accident vasculaire cérébral à un jeune âge (souvent avant l’âge de 40 ans). »

« Nous espérons que cette étude pilote mènera également à des réflexions sur la nécessité d’implémenter un dépistage national de l’hypercholestérolémie familiale au Luxembourg. Aujourd’hui, seules la Slovaquie et la Slovénie ont mis en place un tel dispositif de dépistage dans leur pays respectif. », ajoute Dr De Beaufort. 

Le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale en pratique

En collaboration avec la médecine scolaire de la Ville de Luxembourg, le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale est offert le même jour que l’examen médical scolaire, et est effectué par une infirmière de recherche clinique du DECCP (endocrinologie et diabétologie pédiatrique au CHL). Pour inclure les enfants à ce dépistage, il est important que le formulaire de consentement soit signé par les deux parents, ou par un seul parent si ce parent a la garde unique (à indiquer sur le formulaire).  

Dr Marianne Becker : « Les enfants seront soumis au prélèvement d’un échantillon de sang (quelques gouttes) par piqûre au doigt. Ce prélèvement sanguin sert à faire un dosage du cholestérol total et du cholestérol LDL (mauvais cholestérol). Les enfants seront invités à réaliser un RDV dans notre service lorsque leur taux de cholestérol LDL est trop élevé. Lors de ce RDV, nous allons offrir un test génétique à la famille, une mesure de l’IMT (intima media thickness, c’est une échographie des artères de cou) et – le plus important - un screening en cascade chez les autres membres de la famille (bilan lipidique chez les parents, frères et sœurs). Une fois le diagnostic d’hypercholestérolémie confirmé, les enfants seront pris en charge médicalement. »

Les prélèvements capillaires prendront fin à l’été 2023, sous réserve de l’évolution de la pandémie. S’en suivra ensuite une analyse des données qui permettra de recueillir des résultats statistiques. 

Pour obtenir plus d’informations sur cette étude :

ou bien

T. +352 4411 3173

Le CHL coordonne une étude pilote sur le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale chez l’enfant

Le CHL coordonne une étude pilote sur le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale chez l’enfant

« EARLIE » est le nom d’une étude pilote sur l’hypercholestérolémie familiale (FH) qui vient d’être lancée au Luxembourg. Menée sous la coordination des Drs Marianne Becker et Carine De Beaufort, médecins spécialistes en pédiatrie, endocrinologie et diabétologie à la Kannerklinik du Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), cette étude vise à offrir une analyse du bilan lipidique à tous les enfants scolarisés dans les écoles primaires de la Ville de Luxembourg. L’objectif de l’étude est de pouvoir identifier les enfants souffrant d’hypercholestérolémie familiale et qui sont, par conséquent, à risque accru de développer une maladie cardiovasculaire au cours de leur vie. En identifiant les enfants avec cette maladie génétique, on espère en plus détecter les membres de famille atteints. Vu qu’il s’agit d’une maladie autosomique dominante (un parent de chaque enfant atteint est également touché, ses frères et sœurs ont un risque de 50%), on espère les trouver avant que les complications cardiovasculaires se présentent chez eux.

Les parents d’enfants scolarisés dans les écoles primaires de la Ville de Luxembourg ont reçu/vont recevoir prochainement des documents de présentation de cette étude pilote et un formulaire de consentement, afin que leurs enfants puissent déjà participer à ce dépistage de l’hypercholestérolémie familiale d'ici jusqu'à la fin de l'année scolaire 2022/2023. 

L’étude pilote sur l’hypercholestérolémie familiale est financée par la Fondation Cœur-Daniel Wagner et soutenue par la Direction de la Santé, le Service de Médecine Scolaire de la Ville de Luxembourg, le Cercle des médecins généralistes, la Société Luxembourgeoise de Cardiologie, la Société Luxembourgeoise de Neurologie et la Société Luxembourgeoise de Pédiatrie. 


L’hypercholestérolémie familiale est une maladie génétique qui se caractérise par un taux trop élevé de cholestérol dans le sang. Si elle n’est pas traitée suffisamment tôt, cette maladie insidieuse augmente fortement le risque de développer des maladies cardiovasculaires (crise cardiaque, accident vasculaire cérébral) à l’âge adulte jeune. 

Souvent méconnue, l’hypercholestérolémie familiale ne doit pas être confondue avec l’hypercholestérolémie qui apparait plus tard, vers l’âge de 45-50 ans, et qui est beaucoup plus fréquente au sein de la population. Dr Carine De Beaufort précise : « l’hypercholestérolémie familiale est une maladie héréditaire (les enfants d’une personne atteinte de HF ont un risque de 50% d’être atteints) qui touche 1 personne sur 250. Aujourd’hui, 9 patients sur 10 ne savent pas qu’ils sont atteints d’hypercholestérolémie familiale. »

Dépister dès l’enfance pour prévenir les complications cardiovasculaires à l’âge adulte

Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Luxembourg. Dr Marianne Becker revient sur l’intérêt de mener cette étude pilote pour prévenir ces maladies dont l’hypercholestérolémie est un facteur de risque majeur : « Il est essentiel que l’hypercholestérolémie familiale soit dépistée chez les enfants jeunes (avant la puberté), au moyen de quelques gouttelettes de sang, ceci afin d’instaurer rapidement un traitement médicamenteux permettant de réduire le taux de cholestérol dans le sang. Il sera dès lors possible de prévenir les anomalies vasculaires et d’agir favorablement sur l’espérance de vie de ces enfants atteints de cette maladie génétique. Identifier ces enfants, c’est aussi dépister par la même occasion leurs parents qui sont encore jeunes et chez qui on espère pouvoir prévenir l’apparition d’une crise cardiaque ou d’un accident vasculaire cérébral à un jeune âge (souvent avant l’âge de 40 ans). »

« Nous espérons que cette étude pilote mènera également à des réflexions sur la nécessité d’implémenter un dépistage national de l’hypercholestérolémie familiale au Luxembourg. Aujourd’hui, seules la Slovaquie et la Slovénie ont mis en place un tel dispositif de dépistage dans leur pays respectif. », ajoute Dr De Beaufort. 

Le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale en pratique

En collaboration avec la médecine scolaire de la Ville de Luxembourg, le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale est offert le même jour que l’examen médical scolaire, et est effectué par une infirmière de recherche clinique du DECCP (endocrinologie et diabétologie pédiatrique au CHL). Pour inclure les enfants à ce dépistage, il est important que le formulaire de consentement soit signé par les deux parents, ou par un seul parent si ce parent a la garde unique (à indiquer sur le formulaire).  

Dr Marianne Becker : « Les enfants seront soumis au prélèvement d’un échantillon de sang (quelques gouttes) par piqûre au doigt. Ce prélèvement sanguin sert à faire un dosage du cholestérol total et du cholestérol LDL (mauvais cholestérol). Les enfants seront invités à réaliser un RDV dans notre service lorsque leur taux de cholestérol LDL est trop élevé. Lors de ce RDV, nous allons offrir un test génétique à la famille, une mesure de l’IMT (intima media thickness, c’est une échographie des artères de cou) et – le plus important - un screening en cascade chez les autres membres de la famille (bilan lipidique chez les parents, frères et sœurs). Une fois le diagnostic d’hypercholestérolémie confirmé, les enfants seront pris en charge médicalement. »

Les prélèvements capillaires prendront fin à l’été 2023, sous réserve de l’évolution de la pandémie. S’en suivra ensuite une analyse des données qui permettra de recueillir des résultats statistiques. 

Pour obtenir plus d’informations sur cette étude :

ou bien

T. +352 4411 3173

Désensibilisation orale en immunologie-allergologie

Désensibilisation orale en immunologie-allergologie

1. Principe de désensibilisation

Le but est d’induire une tolérance du corps à un allergène.
Donner sous la langue l’allergène (pollens ou acariens) responsable des symptômes jusqu’à ce que le corps s’habitue et l’accepte.
On force le système immunitaire à tolérer les allergènes auxquels il réagit habituellement avec une allergie.
C’est le seul traitement capable d’agir sur la cause de l’allergie et de la diminuer.
 

2. Technique de prise

Localisation : sous la langue.
Technique : laisser fondre, sans avaler la salive pendant 2 minutes jusqu’à dissolution complète. Privilégier le passage sous langue (et non pas digestif).
 

3. Calendrier

Oralair et Grazax : environ de décembre / janvier à juillet, à renouveler pendant 3 à 5 ans.
Itulazax : environ de octobre / novembre à fin avril, à renouveler pendant 3 à 5 ans.
Acarizax et Orylmyte : toute l’année non-stop.
Traitement à poursuivre pendant trois à cinq ans.


4. Horaire de prise

a. Général
À jeun, le matin de préférence mais possible à n’importe quelle heure de la journée. À prendre en dehors des repas (minimum 2h après repas).
Après la prise, possibilité de manger dans les 10 minutes.

b. Que faire en cas d’oubli ?
*Si oubli le matin : prendre le comprimé dans la journée en dehors des repas, reprendre le suivant normalement le lendemain matin.
*Si oubli > 24h : ne pas prendre 2 comprimés en même temps, poursuivre le traitement.
*Si oubli de plus de 7 j : risque de perte de tolérance et de réaction comme avec la prise initiale.


5. Précaution d’emploi / Situation particulière

*Interruption : limiter au maximum l’interruption du traitement (risque de perte de tolérance). Sauf :

  • Saignement dans la bouche (soins dentaire ou plaie) : ne pas mettre le médicament en contact avec la circulation sanguine car risque de réaction généralisée. Possibilité d’arrêt 2 à 3 jour jusqu’à cicatrisation. Ne pas mettre au contact direct de la cicatrice, favoriser un autre endroit sous la langue ou le faire fondre.

*Surdosage (prise de plusieurs comprimés) : prendre un antihistaminique et appeler médecin si réaction sévère.
*Grossesse : ne pas initier la 1ère année.
Si désensibilisation débutée avant la grossesse : poursuivre le traitement sans contre-indication au cours de la grossesse et de l’allaitement.


6. Effets Indésirables

Étant donné que le comprimé est un allergène auquel vous êtes allergique : risque de faire une réaction allergique locale :

  • Picotement sous la langue pouvant s’étendre aux oreilles, gorges …
  • Risque de rhinite, conjonctivite.
  • Risque local de gonflement sous la langue.
  • Risque de trouble respiratoire très rare.
  • Risque d’Oesophagite à Eosinophile très rare.
  • Risque d’anaphylaxie exceptionnel.
     

7. Conduite à tenir en cas de réaction

Réaction légère : prise d’antihistaminique.
L’antihistaminique permet de réduire les effets indésirables mais n’empêche pas le traitement d’agir.
Ne pas hésiter à le prendre en cas d’effet indésirable ou en cas de symptômes allergiques.


8. Conseils Pratiques

  • Possibilité d’utiliser un calendrier de prise ou vous pouvez reporter les symptômes.
  • Mettre alarme sur Téléphone.
  • Télécharger les applications existantes : DRAGO, AllerTmoi, AllergiK …
  • Carnet de suivi.


9. Efficacité

Efficace dès la 1ère année mais de manière progressive.Poursuivre le traitement symptomatique de la rhinite et de l’asthme (antihistaminique, spray, collyre, inhalateur ...) en plus de la désensibilisation. Gestion du traitement à voir avec le médecin.
Pas d’interaction médicamenteuse avec d’autres médicaments.


10. Suivi de mon traitement

Calendrier des RDV à convenir avec le médecin. Rendezvous médicaux :

  • 1 à 3 RDV par an sont à prévoir après initiation du traitement.
  • Le traitement est à poursuivre 3 à 5 ans.

 

Ne pas hésiter à reprendre rendez-vous dans l’intervallesi besoin !

SI VOUS SOUHAITEZ ANNULER LA CONSULTATION, merci de prévenir minimum 48h à l’avance par téléphone ou par mail.

Services associés
Consultation en immunologie-allergologie

Consultation en immunologie-allergologie

Vous venez en consultation dans le service d’immunologie-allergologie dans le but de définir si vous avez une maladie allergique ou une autre affection du système immunitaire.


Combien de temps dois-je prévoir?

La consultation se divise en deux temps :

  • › des tests cutanés et une prise de sang (environ 20-30 minutes).
  • › une consultation médicale (15 à 40 minutes).


Que dois-je faire avant la consultation ?

  • Arrêter tout médicament antihistaminique 5 jours avant la consultation. Il s’agit des médicaments anti-allergiques tels que Zyrtec, Aerius, Bellozal, Rupatall, Xyzall, Levocétirizine, AllegraTab …
  • Ne pas arrêter les autres traitements notamment les inhalateurs de l’asthme.
  • Apporter la lettre de transfert du médecin et vos résultats d’analyse en lien avec la maladie.
  • Préparer la liste précise de produits ou médicaments auxquels vous pensez réagir.
  • S’habiller confortablement avec des vêtements larges au niveau des avant-bras.
  • Prendre les repas comme d’habitude.


Où dois-je me rendre ?

Si je ne suis jamais venu(e) au CHL :

  • RDV au bureau des admissions du CHL 20 à 30 minutes avant votre rendez-vous avec une carte d’identité et la carte de CNS.
  • Aller ensuite dans le service d’immunologie-allergologie.

Si je suis déjà venu(e) au CHL :

  • Venir directement dans le service d’immunologie-allergologie.

Le service d’immunologie-allergologie est situé au sous-sol (-1) du CHL.
S’annoncer au secrétariat du service.
 

Comment se déroule la consultation ?

1. La prise en charge infirmière
La prise en charge infirmière : des tests cutanés appelés Prick Test et une prise de sang seront réalisés.
Ces examens permettent de définir vos affections allergiques ou immunologiques.


Le Prick Test est un examen simple et sécurisé consistant à déposer une goutte d’un extrait d’allergène sur la peau de l’avant-bras ou du haut du dos, suivi d’une petite effraction de la peau par une aiguille à travers la goutte.
La réaction attendue à l’endroit où l’allergène a été posé correspond à une rougeur, un chatouillement, un gonflement comme une piqure de moustique si le test est positif.
Ne pas gratter les zones de test.
Les démangeaisons, la rougeur et le gonflement local disparaissent rapidement endéans l'heure.

2. La consultation médicale
La consultation médicale se fera dans le bureau médical afin de reprendre et d’analyser l’histoire de vos symptômes (il s’agit de l’enquête allergologique), d’interpréter les résultats de vos tests, de préciser les analyses biologiques et complémentaires et de discuter les traitements adéquats.


 

Quel est le degré d’urgence après une manifestation allergique ?

Les tests allergiques ne sont pas des examens pratiqués en urgence. Certaines réactions (notamment médicamenteuses ou au venin) nécessitent un délai de 4-6 semaines après leur résolution pour que les tests soient fiables.
Notez bien le déroulement de vos symptômes pour ne pas oublier le jour de la consultation.

SI VOUS SOUHAITEZ ANNULER LA CONSULTATION, merci de prévenir minimum 48h à l’avance par téléphone ou par mail.

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