Médecine de catastrophe : Protection des hôpitaux face aux risques émergents (Intrusion terroriste / cyber attaque / feu / panne électrique /…)

Médecine de catastrophe : Protection des hôpitaux face aux risques émergents (Intrusion terroriste / cyber attaque / feu / panne électrique /…)

Sécurité et hôpital : Protection des hôpitaux face aux risques émergents

En association avec la Société Luxembourgeoise de Médecine d’Urgence (SLMU), la Société Française de Médecine de Catastrophe (SFMC) organise une session consacrée au maintien en sécurité de l’hôpital, pièce maîtresse de la filière de secours et soins aux victimes de catastrophes.

Le 17 octobre 2019 Amphithéâtre du CHL - Centre Hospitalier de Luxembourg, 4 rue Barblé, L-1210 Luxembourg.

Le président de l’European Council for Disaster Medicine (ECDM) le Dr Ulrich Grüenisen a rejoint notre groupe avec les Drs Marc Simon (membre SLMU et SFMC) et Cyrille Dupont (membre SLMU, SFMC et ECDM) pour organiser un programme articulé sur quatre moments : Retours d’expérience / Protection contre l’intrusion / Protection contre le risque NRBC / Protection des Systèmes Informatiques et Cybersécurité


PROGRAMME

  • 08h00: ACCUEIL
  • 08h30: OUVERTURE
    • Autorités
      - Dr Marc SIMON, administrateur de la SLMU
      - Dr Cyrille DUPONT, membre de l’ECDM
      - Dr Henri JULIEN, président de la SFMC
  • 09h00: NOTE  D’INTRODUCTION
    • Abord méthodologique de la protection de l’hôpital - Methodogical study of hospital protection - Dr Cyrille Dupont (Luxembourg)
  • ​09h15: RETOURS D’EXPÉRIENCE ET TÉMOIGNAGES
    • Feu au CHU - Fire of the emergency room - Patrick Portecop CHU de Pointe à Pitre (France)
    • Feu Hôpital Badim de Rio - Fire Badim hospital - Luiz Mauricio Plotkowski (Brésil)
    • Panne électrique à l’hôpital Hospital - Electric failure - Dr Eric Le Carpentier CHU Henri Mondor (France)
    • Intrusion terroriste - Terrorist intrusion - Pr Pinchas Halpern (Israël)
  • 11h00: PROTECTION DE L’HÔPITAL AGRESSÉ
    • Eléments de protection anti-intrusion – Anti-intrusion elements - Dr Matthieu Langlois (France)
    • Prévention incendie et hôpital – Hospital fire prevention - Mr Mike Hoffmann (Luxembourg)
    • Afflux de victimes et désorganisation de l’accueil-urgence - Victim mass influx - Dr Marc Simon (Luxembourg)
    • Adaptation du plan d’urgence - Emermergency planification - Dr Frank Van Trimpont (Belgique)
  • 12h45: PAUSE REPAS ET VISITE DE L’EXPOSITION
  • 14h00: PROTECTION NRBC
    • Prise en charge des patients et protection de l’établissement - Hospital protection and patients care - Drs P. Walkowiak – C. Wagenheim (France)
    • Actualités protection NRC - CBRN protection news - Catherine Bertrand SFMC (France)
    • Décontamination en enceinte hospitalière ou juxta hospitalière - Decontamination ante portas versus internal madness - Mr Jurgen Schreiber (Allemagne)
    • Décontamination hospitalière, des principes à la réalité - Hospital decontamination, from principles to reality - Dr Lionel Nace (France)
  • 15h30: SYSTÈMES INFORMATIQUES ET RISQUES, CYBERSÉCURITÉ
    • Actualité de la cybersécurité, vers une protection ? Cybersecurity news, towards protection? - Mr Laurent Weber, HCPNL (Luxembourg)
    • Numérique et santé : liaisons dangereuses - Digital and Health : Dangerous Connection - Mr Philippe Loudenot, Ministère Santé (France)
    • Cybersécurité et hôpital - Hospital Cybersecurity - Dr Didier Mennecier, SSA (France)
  • 17h00: SYNTHESE ET CONCLUSION - F. VAN TRIMPONT (Belgique)

ATELIERS PRATIQUES (en parallèle des conférences)

La participation aux ateliers est optionnelle, non obligatoire. Chacun des quatre ateliers dure 45 minutes. Vous pouvez en choisir deux au maximum. Indiquer votre choix par ordre de préférence. Une tenue vestimentaire adaptée est à prévoir. Les présentations et animations sont en français. La répartition des particpants sera affichée à l’arrivée le 8 au matin. Il sera tenu compte du souhait exprimé dans la mesure du possible.

  • Atelier 1: Triage. Le triage est un acte essentiel de l’abord médical et secouriste de blessés en nombre. Divers modalités et critères sont proposés sur le terrain comme à l’accueil hospitalier ou au bloc opératoire
  • Atelier 2: Tenues de protection biologique. Vêtir et ôter une tenue de protection biologique nécessitent une bonne connaissance des éléments qui la constituent et de la manœuvre, en solo ou à deux personnels.
  • Atelier 3: Damage control ressuscitation. Le Damage control ressuscitation, sa méthodologie, les gestes et mise en œuvre des matériels recommandés sont présentés de manière active.
  • Atelier 4: Chaines de décontamination. Deux types de chaine de chaine de décontamination mobiles sont déployées et présentées qui participent à la sécurisation de l’hôpital avant admission des victimes contaminées et contaminantes chimiques permettant de prendre conscience des délais , des modalités et des difficultés présentées par la décontamination des valides comme des invalides.

TARIFS ET INSCRIPTION

  • Non-membre SFMC ou SLMU: 85€ (Le prix inclut la collation et la pochette des  abstracts) 
  • Membre SFMC ou SLMU: 65€ (Le prix inclut la collation et la pochette des  abstracts)

A verser sur le compte: LU67 1111 0000 5252 0000  (BIC: CCPLLULL). Veuillez noter la communication : STAT-00000047 + Votre nom

Inscription en ligne via le formulaire disponible ici.


EXPOSANTS

CSST - MENARINI - OUVRY – SANOFI - UTILIS


CONSEIL SCIENTIFIQUE

C. BERTRAND - P-E. BOLLAERT - A. BOURDÉ - C. DUPONT - U. GRÜENEISEN - H. JULIEN - F. VAN TRIMPONT - L. RONCHI - L. NACE - M. SIMON


COMITÉ D'ORGANISATION

JP AUFFRAY - D. AUGU - F. BRAUN - C. DUPONT - M. GUIRE - H. JULIEN - C. KIEFFER - C. RENAUDEAU - L. RONCHI - M. SIMON


Visite de Dan Kersch, ministre des sports, à la Clinique du Sport du CHL

Visite de Dan Kersch, ministre des sports, à la Clinique du Sport du CHL

Sur invitation de la Direction du CHL, le ministre des Sports s’est rendu récemment sur le site CHL Eich pour une visite officielle de la Clinique du Sport du CHL.

Après avoir été accueilli par les membres du Comité de Direction et de l'équipe, le ministre a assisté à une présentation détaillée du concept de la Clinique du Sport. Née en 2004 de l’étroite intégration de la médecine du sport et de la chirurgie orthopédique sur initiative des Profs. Romain Seil et Axel Urhausen, celle-ci a pour mission d’accueillir les patients et sportifs de tous niveaux (loisir, amateur,professionnel, cadres fédéraux et olympiques) qui nécessitent des soins après blessure, dans le cadre d’une maladie ou tout simplement pour débuter, contrôler ou adapter une activité sportive. Par ailleurs la Clinique du Sport propose des programmes de prévention, de diagnostic fonctionnel ou de rééducation active en collaboration avec le service de kinésithérapie de la Clinique d’Eich.

La Clinique du Sport est une organisation transversale et multidisciplinaire qui réunit des compétences orthopédiques, de médecine du sport, de médecine physique, de rhumatologie, ainsi que de kinésithérapie orthopédique. Plus de 60 personnes hautement qualifiées avec des compétences et des profils professionnels variés (médecins, médecins en voie de spécialisation, kinésithérapeutes, chercheurs confirmés et candidats PhD, soignants et secrétaires) y travaillent. Selon la mission du CHL, ils y couvrent à la fois des aspects cliniques, scientifiques et d’enseignement. Chaque année, ce sont au total 30.000 consultations, 1.500 interventions chirurgicales, 2.000 évaluations fonctionnelles et 20.000 interventions de kinésithérapie qui sont réalisées par les membres des différentes équipes.

Un tour d'horizon a pu être fait sur les nombreuses activités scientifiques, les publications, les partenariats et les collaborations qui ont pu être noués grâce à l'expertise et la renommée internationale de l'équipe médicale. Les 150 congrès et conférences organisés par la Clinique du Sport ayant réuni plus de 8.000 personnes en 15 ans soulignent le grand impact scientifique, sociétal et économique du groupe.

Après une visite des salles de consultation de la médecine du sport et de la policlinique orthopédique, le ministre a pu participer à une démonstration de l'analyse de mouvement sur tapis roulant. Ce type d'analyse est réalisé pour identifier des facteurs de risque chez les athlètes de tous les niveaux sportifs, dans un but de prévenir, d’analyser et d’accompagner les blessures sportives jusqu’au retour sur le terrain. Il est aussi utilisé dans le cadre de projets de recherche en partenariat avec les équipes du Luxembourg Institute of Health (LIH).

La visite fut suivie d'une rencontre avec l'équipe de kinésithérapie de la Clinique du Sport du CHL.

Le ministre a par la suite saisi l'occasion de s'échanger et s'entretenir avec toute l'équipe autour d’un verre de l’amitié.

 

Les nouveaux défis en soins palliatifs

Les nouveaux défis en soins palliatifs

Dans le cadre de la Journée mondiale des soins palliatifs (samedi 12 octobre), le service des soins palliatifs du CHL organise le vendredi 11 octobre un congrès dont le thème sera: "Les nouveaux défis en soins palliatifs".

De 8h30 à 17h00, amphithéâtre du Centre Hospitalier de Luxembourg, 4 rue Barblé, L-1210 Luxembourg.

PROGRAMME:

  • 08h30: Inscription et accueil autour d’un café

  • 09h00: ATELIERS (Durée : 2h00 - 1 séance atelier / personne)
  1. Qui décide, quand et comment ... (Atelier en français) - Mr Mike Schwebag / Mme Elisabeth Lemercier 
  2. Les motivations et demandes d’euthanasie ou de suicide assisté (Atelier en luxembourgeois / français) - Mme Anais Meulemans / Mme Romane Chiellini
  3. Quand le patient refuse de s’alimenter que faire ? (Atelier en français) -  Dr Cristiana Lopes Da Silva / Mme Cathy Murgia
  4. Vécu des professionnels de santé face à la demande d’aide de mourir du patient. (Atelier en luxembourgeois) - Mme Mélanie Alt / Mr Claude Soricelli

  • 11h15: CONFÉRENCES - Traduction fr/all et all/fr

  • 11h15: Mot de la Direction médicale ( Traduction simultanée ) - Dr Martine Goergen
  • 11h30: NTBR - DNR - DNI: Signification, certitude, incertitude -  Dr Catherine Boisanté

  • 12h15: PAUSE (Repas de midi offert)

  • 13h30: Den Sterbenden verstehen - Prof. Dr med Giovanni Maio suivi d'une discussion libre - Dr Fernand Pauly

  • 15h00: PAUSE 

  • 15h30: « Terminal » oder « nur » lebensbedrohlich ? Pflege von Menschen mit einer chronischen Erkrankung - Mme Anne-Marie Hanff
  • Table ronde animée par Mme Monique Birkel. Invités de la table ronde: Mme Kathrin Koster /Mme Peggy Henrotte / Mme Caroline Schmit
  • 16h45: Mot de fin : Direction des soins - Mme Monique Birkel

  • 17h00: fin de la journée 

INSCRIPTIONS:

Inscriptions en ligne via le formulaire disponible ici.

Le personnel du CHL est invité à s'inscrire via la formation continue.

Fiche conseils pour la lecture des étiquettes - Pour patients dialysés

Fiche conseils pour la lecture des étiquettes - Pour patients dialysés

Les étiquettes :comment retrouver son chemin ! Que peuvent vous apprendre les étiquettes ?

  • À comparer plus facilement les aliments.
  • À mieux juger de la valeur nutritive des aliments.
  • À faire des choix alimentaires pour vivre sainement.


La liste d'ingrédients

Vous pouvez en tirer de nombreuses informations :

  • Elle reprend tous les ingrédients par ordre décroissant, le premier ingrédient est donc majoritaire et se trouve en plus grande quantité dans le produit fini.
  • Les ingrédients faisant partie des 14 allergènes alimentaires doivent être mis en évidence.
  • Les sucres ajoutés se cachent sous différents noms : sucre, sucre de betterave, sucre de canne, cassonade, glucose, fructose, sirops de glucose/fructose, sirop de liège, mélasse, caramel, sirop de fruits, sirop céréales (ex.: de riz, de blé, d’orge, de maïs), sirop d’érable, sirop d’agave, sirop d’artichaut de Jérusalem, sucre de coco, miel…

Quelques astuces :

  • Privilégier les listes d’ingrédients les plus courtes.
  • Privilégier les listes d’ingrédients qui contiennent uniquement des ingrédients que l’on peut avoir dans son placard.
  • Choisir une liste avec peu ou pas d’additifs et avec peu ou pas de sucres ajoutés.


Les additifs alimentaires : attention à ce que vous mettez dans vos asiettes 

Vous pouvez les repérer facilement sur la liste d’ingrédients, soit vous y trouvez la catégorie avec le nom de l’additif, soit la catégorie avec la lettre “E” suivi de 3 chiffres.
Ils sont utilisés pour améliorer le goût, la texture, la couleur ou encore pour permettre aux produits de se conserver beaucoup plus longtemps.
Si vous voyez plein de ces “E” sur l’étiquette d’un produit, passez votre chemin !


Quels reinsegnements doivent apparaîte sur l'étiquetage nutritionnel ? 

  • L’étiquetage nutritionnel renseigne sur la valeur nutritive par 100 g ou 100 ml.
  • Il doit reprendre au minimum la valeur énergétique, les graisses et les graisses saturées, les glucides et les sucres, les protéines et le sel. La déclaration nutritionnelle d’autres nutriments (p.ex. : fibres, vitamines, calcium, …) et/ou par portion est facultative.

 

Valeurs nutritionnelles

100 g

Energie

280 kJ - 67 kcal

Matières grasses

dont acides gras saturés

1,0

0,6

Glucides

dont sucres

10,5

5,5

Protéines

4,0

Sel

0,15

 

1) Valeur énergétique

  • Valeur énergétique = énergie apportée par la consommation d’un aliment.

2) Teneur en graisse

  • Ensemble des graisses = apportent de l’énergie, des vitamines et des acides gras essentiels « Toutefois, consommées en excès, elles augmentent les risques pour la santé »
  • Graisses saturées = mauvaises graisses Les graisses saturées se retrouvent dans les produits d’origine animale et dans certaines huiles végétales (ex. : huile de palme, de coco). Vous les retrouvez dans les viennoiseries, les pâtisseries, les plats industriels, ...
  • Graisses trans = graisses végétales hydrogénées = mauvaises graisses « La consommation excessive de mauvaises graisses favorise les maladies cardiovasculaires »
  • Graisses insaturées = bonnes graisses

3) La teneur en glucides

  • Glucides = source importante d’énergie et nutriments principales qui influencent la glycémie
  • Glucides = glucides totaux = glucides complexes (amidon) + sucres

Les glucides complexes comme l’amidon sont retrouvés dans les céréales et les féculents.
Les sucres font référence aux sucres simples = saccharose, fructose, glucose, lactose, sirop de ...
Ils ont une saveur sucrée. Ils sont soit naturellement présents dans les fruits, produits laitiers, miels,… soit ajoutés aux aliments par l’industrie, l’artisan ou nous-même pour sucrer des aliments/préparations.

Par exemple :
Si votre produit contient 80 g de glucides et qu’il est précisé « dont sucres : 60 g » : cela signifie que dans ce produit, il y a 60 g de sucres simples.

La consommation de glucides complexes est à favoriser par rapport aux sucres simples, surtout par rapport aux sucres simples ajoutés. Pour des produits contenant naturellement des sucres simples (p. ex. compotes, produits laitiers,...), la mention « sans sucres ajoutés » peut vous aider à faire le bon choix.

4) La teneur en protéines
Protéines = constituants indispensables des muscles ou encore des os, les protéines sont des composés permettant la fabrication, la croissance et le renouvellement du corps. Pour les plats préparés, veillez à avoir plus de protéines que de graisses.

5) La teneur en sel
Sel = chlorure de sodium = NaCl
Le sodium contenu dans le sel aide notamment à réguler la pression et le volume sanguin et participe au bon fonctionnement des muscles et du coeur.
Toutefois, une consommation « trop importante de sel a des effets négatifs sur la santé, elle entraîne une augmentation de la tension artérielle et à terme des risques de maladies cardiovasculaires ».
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande de consommer moins de 5g (un peu moins d’une cuillère à café) de sel par jour.
Le sel est un exhausteur de goût et va donc amplifier l’arôme d’un plat. Il est partout, visible et invisible. Il y a le sel qu’on met en cuisine, volontairement et celui qu’on va absorber dans les charcuteries et les plats industriels par exemple.
Dans la liste d’ingrédients, le sodium se cache sous différents noms : chlorure de sodium (NaCl), glutamate monosodique, citrate disodique ou trisodique, citrate ou phosphate de sodium (ou monosodique), sel d’ail, sel de céleri, sel d’oignon, bicarbonate de sodium, …


Qu'en est-il des allégations nutritionnelles ? 

Elles suggèrent que l’aliment possède des caractéristiques particulières, liées à la composition ou aux propriétés nutritionnelles de l’aliment.
Exemples : « source de… », « enrichi en … », « riche en … », « allégé », « sans sel », ...

  • Ces notions sont définies par la législation. Ainsi, un aliment « sans matière grasse » contient moins de 0,5 g de graisses pour 100 g (ou 100 ml).
  • Allégée ou light : La mention « allégé » ou « light » signifie une réduction d’au moins 30 % par rapport au produit similaire. Ceci peut concerner la teneur en énergie, en sucres ou en graisses.
  • Attention : un produit contenant 30 % de sucres en moins qu’un produit similaire, ne veut pas forcément dire qu’il est peu sucré ou qu’il est moins calorique.


Attention à ce qui n’est pas dit !

Un aliment promu à la télévision comme riche en calcium est peut-être plein de sucres et de matières grasses et cela, a priori, on ne vous le dit pas.


Les dates 

« À consommer jusqu’au... » = date limite de consommation Après cette date, le produit concerné devient dangereux pour la santé, il ne peut plus être consommé (ex. : viandes et poissons frais).
« À consommer de préférence avant ... » = date de durabilité minimale Il s’agit de la date jusqu’à laquelle le produit conserve ses qualités gustatives (ex. : pâtes, légumes secs, café, thé...). Après dépassement de cette date, le produit n’est pas forcement incomestible.


Le nutre-score : le pouvoir des couleurs ...

  • Ce logo n’est pas imposé, mais peut être utilisé dans le cadre d’une démarche volontaire des entreprises/distributeurs.
  • Il informe sur la qualité nutritionnelle simplifiée d’un aliment.
  • Il monte avec les aliments et nutriments à favoriser (fibres, fruits, légumes, …) et baisse avec les nutriments et de l’énergie à limiter (mauvaises graisses, sucres, sel).
  • Il se résume à 5 lettres associées à 5 couleurs : le A vert étant le meilleur choix et le E rouge le moins bon.


Il s’agit d’un outil simple de comparaison.

Attention cependant à comparer des aliments comparables, soit d’une même famille alimentaire.


Les labels

Sur les emballages, vous pouvez également retrouver de nombreux labels. Ils vous renseignent sur l’origine, les compétences des producteurs, les conditions de fabrications, …

 

Ref. : Flyer A3 Conseils Protéines Dialyse Nov 2023

Services associés
Le CHL organise une journée thématique dédiée à l'hypnose

Le CHL organise une journée thématique dédiée à l'hypnose

Plus de 150 professionnels venant du Luxembourg, de France et de Belgique et travaillant dans différents domaines de la santé ont répondu présents à l'invitation du CHL pour participer à sa première journée thématique dédiée entièrement à l'hypnose.

Sous le thème "L'hypnose - Une voix pour accompagner le patient", plusieurs professionnels de la santé du CHL (psychologues, médecins et soignants) ont exposé comment la pratique de l'hypnose peut être un outil important dans la prise en charge du patient, adulte et enfant.

Que ce soit pour soulager la douleur, réduire le stress ou apaiser, l'hypnose a trouvé sa place au CHL et sa pratique est devenue un outil thérapeutique efficace et complémentaire dans l'accompagnement du patient et de son entourage.

La journée a ainsi permis de faire un point sur les différents champs d'application de l'hypnose au sein du CHL et se voulait également un moment de partage d'expérience et d'échange avec les différents participants.

Le programme complet de cette journée est disponible ici.

Docteur Ali Pourian

Docteur Ali Pourian

Le docteur Ali Pourian est médecin dans le service de Chirurgie generale - digestive - vasculaire - thoracique et endocrinienne du CHL.

Formation médicale de base :

  • Studium der Humanmedizin an der Hamadan University of Medical Sciences, Iran
  • Études en médecine à l’Université d’Hamedan, Iran

Spécialisations :

  • Facharzt für Allgemeinchirurgie
  • Zusatzbezeichnung Proktologie
  • Spécialiste en chirurgie générale
  • Certification complémentaire en proctologie

Intérêts particuliers :

  • Chirurgie endoscopique
  • Chirurgie proctologique

Membre de :

  • DGAV (société allemande de chirurgie générale et
  • viscérale)
  • DGK (société allemande de colo-proctologie)
  • BDC (fédération des chirurgiens allemands)

Langues parlées :

  • Allemand
  • Anglais
  • Français
  • Farsi

 

20375 Ali Pourian
CHL - CHL Centre

Chirurgie Générale, Chirurgie Viscérale, Chirurgie Digestive, Chirurgie Endocrinienne

Fax :
  +352 4411-6274
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 30

Tél : +352 4411-2734
CHL - CHL

Kriibszentrum

Fax :
  +352 4411-6871
Arrêt tabac = prise de poids ? - Service de Pneumologie

Arrêt tabac = prise de poids ? - Service de Pneumologie

NON, PAS FORCÉMENT !

On estime, qu’en moyenne la prise de poids est de 3,8 kg pour les femmes, et de 2,8 kg pour les hommes lors de l’arrêt du tabac.

Mais ce n’est pas une fatalité : 30 % de ceux qui arrêtent ne prennent pas un gramme.

Il ne faut surtout pas s’arrêter de manger, mais manger bien et profiter de ce moment de changement d’habitudes pour adopter une meilleure hygiène alimentaire.

Mieux manger du point de vue diététique, ce n’est pas se priver. C’est juste se nourrir de manière plus équilibrée et plus saine. Cela va complètement dans la même logique que l’arrêt du tabac.

L'une des causes de rechute à fumer... est la prise de poids. Un argument de plus pour bien cadrer et bien gérer le problème dès le départ. Prenez éventuellement contact avec une diététicienne, qui pourra vous aider dans le choix alimentaire, surtout si vous avez tendance à prendre du poids.

Contrairement à ce que l’on peut imaginer, le moment de l’arrêt du tabac est un bon moment pour modifier son alimentation, parce qu'à l’arrêt de la cigarette, on retrouve assez rapidement le goût et l’odorat. C’est donc l’occasion de mettre du plaisir dans son assiette.


Quelque petits conseils pour prévenir une prise de poids

Dans les jours qui précèdent l'arrêt, réduisez votre consommation de thé, de café et d'alcool, et commencez à intégrer la marche à vos activités quotidiennes.

Attention au vin et aux apéritifs !

Ils apportent beaucoup de calories et donnent envie de fumer. Cela dit, il vaut mieux un petit verre de vin, si vous allez chez des amis qu’une grosse frustration qui risque de vous faire rechuter.

Lâchez-vous sur les épices.

Il faut que ce soit bon et beau dans votre assiette. Découvrez des saveurs nouvelles : l’origan, l’aneth, le thym, le basilic, mais aussi le safran, le poivre, le curry et le paprika.

Récompensez-vous.

Manger, cela fait plaisir. Faites en sorte que ce soit beau en plus. Au lieu de grignoter votre fruit sur un coin de table, prenez le temps de vous préparer une belle salade de fruits, colorée et parfumée. Décorez vos assiettes de salade et de crudités.

Évitez de stocker des plats tout faits dans votre frigo.

Choisissez des fruits et légumes de saison et des viandes et poissons frais, que vous accompagnez de pommes de terre, pâtes ou riz.

Et si l’envie vous prend trop forte de grignoter, alors mangez des fruits ou des carottes, des tomates, du fenouil ou des radis. Mais, cela se prévoit !
Si vous n'avez que des petits gâteaux chez vous, ce sont eux que vous mangerez en cas de fringale.

Anticipez !

Préparez vos bâtonnets de carottes dans votre frigo pour piocher dedans quand vous aurez un petit creux.
Prenez éventuellement recours aux chewing-gums sans sucre et hydratez-vous bien avec de l’eau plate ou pétillante.


ET SURTOUT NE SAUTEZ PAS DE REPAS !

Le fait de sauter des repas fait en sorte que votre métabolisme a tendance à faire des réserves, donc à stocker des graisses. En plus, le saut de repas garantit
le grignotage, pour compenser.

Au bout de quelques jours, vous respirerez plus facilement. Vous vous sentirez plus en forme. Autant en profiter pour reprendre ou commencer un sport.
Les calories qui s’envolaient sous l’effet de la nicotine peuvent être utilisées pour une activité sportive.

Bonne réalisation!
Consultations sur rendez-vous avec une diététicienne au Centre Médical - CHL Eich
Tél : 4411 8152


Service de pneumologie

Pour vous aider à arrêter, n’hésitez pas à en parler à votre médecin et à vos infirmières au CHL. Ils sont à votre écoute et souhaitent voir diminuer le nombre de fumeurs.
Ils peuvent vous aider directement ou faire appel à une équipe spécialisée au CHL. Les substituts nicotiniques (patchs, gommes, tablettes à sucer,...) et des médicaments sur prescription médicale aident à supporter le syndrôme de manque et à vaincre le tabagisme. La prise de poids n’est pas inéluctable. Vous pouvez aussi vous adresser à la :

Consultation de sevrage tabagique
Tél : 4411 8720
tabac.stop@chl.lu

Une équipe spécialisée de médecins et d’infirmières peuvent vous aider à élaborer et à mettre en place votre projet d’arrêt du tabac.

Services associés
Arrêter de fumer, vous le pouvez, nous vous aidons ! - Service de Pneumologie

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Le tabac 

Le tabac est la deuxième cause de mortalité et la quatrième de morbidité dans le monde (OMS 2008).
Au Luxembourg, en 2009, 24 % des individus de plus de 15 ans sont des fumeurs dont 19% quotidiens. On estime que 500 à 600 patients y meurent chaque année du tabagisme et environ 20 des effets du tabagisme passif.

Le tabac contient plus de 4.000 substances toxiques :
la nicotine, le monoxyde de carbone ou CO, des irritants bronchiques et plusieurs composés cancérigènes.
Le tabac est dangereux sous toutes ses formes : cigarettes manufacturées, roulées, cigares, cigarillos, …
Même une seule cigarette par jour est délétère pour la santé au long cours.


Le tabac entraîne :

  • une dépendance physique à la nicotine.
  • une dépendance comportementale.
  • une dépendance psychologique.

Les effets néfastes du tabac sont :

  • Respiratoires : Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).
  • Cardiaques et vasculaires.
  • Cancérigènes.
  • Digestifs et urinaires.
  • Cutanés et infectieux.

En plus, le tabac aggrave de très nombreuses maladies ou accélère leur évolution, comme par exemple : la sclérose en plaque … Dans un grand nombre de maladies, l’arrêt du tabac est vital (maladies bronchopulmonaires, cardiaques, vasculaires, neurologiques, cancéreuses, …).
Le tabagisme est une maladie chronique qui nécessite une prise en charge avec conseils, accompagnement et traitement médical. Parlez-en à votre médecin, il saura vous informer.
Le bénéfice à l’arrêt pour la santé est immense et ceci à tout moment. Le bénéfice en qualité de vie aussi est énorme.
Nombreux sont les anciens fumeurs dont le seul regret est de ne pas avoir arrêté plus tôt.


Femme et tabac

En plus de tous les risques déjà cités, les femmes semblent particulièrement exposées à tous les âges de la vie :
Tabac et contraception hormonale : On observe un risque accru de phlébite et d’embolie pulmonaires et d’accidents vasculaires, même chez la jeune femme.
Tabac et fécondité : On note une augmentation du délai nécessaire à la conception, majoré si le futur père fume aussi. Les fécondations in vitro (FIV) ont 4 fois moins de chances de réussir, si la femme continue de fumer.
Tabac et grossesse : Le foetus est constamment intoxiqué par le CO. Le risque d’accouchement prématuré augmente et l’enfant a un poids de naissance inférieur. Une cigarette par jour correspond à 10 à 30 grammes en moins à la naissance.

L’idéal est d’arrêter de fumer avant la grossesse mais il n’est jamais trop tard. L’arrêt même en cours de grossesse est bénéfique.


Le tabagisme passif

Le tabagisme passif est le fait d’être exposé à la fumée de cigarette et d’inhaler involontairement la fumée dégagée par un ou plusieurs fumeurs. Le tabac est le principa polluant à l’intérieur des maisons. A tous les âges de la vie, le tabagisme passif est dangereux.

Le tabagisme passif irrite les muqueuses en particulier ORL et les conjonctives des yeux. Il entraîne souvent des maux de tête et une sensation de fatigue.
Tabac et maladies respiratoires : Asthme, BPCO s’aggravent si le patient est exposé au tabagisme passif.
Tabac et maladies coronariennes : Il est bien établi que l’exposition au tabagisme passif expose à un risque accru d’infarctus et de mort subite. L’interdiction de fumer en Italie a entraîné une diminution de 11 % des admissions dans les hôpitaux en Italie en cardiologie.
Tabac et enfant : Chez le nourrisson, on note un doublement du risque de mort subite en cas d’exposition au tabagisme passif. A tous les âges, on observe une importante augmentation des bronchites, otites et crises d’asthme. L’exposition dans l’automobile doit être évitée.


Avant une opération, j'arrête de fumer

Pourquoi arrêter ?
Le tabagisme augmente les risques de complications postopératoires, en particulier respiratoires et infectieuses, et retard de cicatrisation.
Arrêter de fumer 6 à 8 semaines avant l’intervention et jusqu’à la cicatrisation complète, diminue par 3 le risque de complications chirurgicales, avec des séjours en réanimation deux fois plus courts et une durée totale d’hospitalisation plus courte.

Quand arrêter ?
Le plus tôt possible avant l’intervention.
Plus de 6 semaines avant l’intervention, le risque opératoire lié au tabagisme a disparu. Entre 2 jours et 6 semaines avant l’intervention, le risque opératoire diminue en fonction de la durée de l’arrêt.
Entre 12 et 48 heures avant l’intervention, une meilleure oxygénation des tissus est déjà obtenue. En cas de chirurgie en urgence parlez-en à votre chirurgien, à votre anesthésiste et à leurs équipes. Ils vous aideront à franchir le cap de la période de sevrage.

Et après l’opération ?
L’arrêt du tabac est essentiel à une bonne cicatrisation de la peau (environ 3 semaines après l’intervention) ou éventuellement à une bonne consolidation osseuse (3 mois après l’intervention orthopédique). Sachez profiter de cette chance d’avoir pu arrêter pendant votre hospitalisation et ne la gâchez pas. Plus les jours passeront, moins l’envie sera forte.


ARRÊTER DE FUMER EST LA MEILLEURE ACTION À ENTREPRENDRE POUR VOTRE SANTÉ !

Mon enfant va être opéré.
Ne fumez jamais en sa présence quelque soit son âge. Ne fumez pas à l’intérieur de votre logement ou de votre auto. L’aération ne suffit pas à éviter l’exposition au tabagisme passif.


Service de pneumologie

Consultation de sevrage tabagique :
Tél : +352 4411 8720
tabac.stop@chl.lu

Pour vous aider à arrêter, n’hésitez pas à en parler à votre médecin et à vos infirmières au CHL. Ils sont à votre écoute et souhaitent voir diminuer le nombre de fumeurs. Ils peuvent vous aider directement ou faire appel à une équipe spécialisée au CHL. Les substituts nicotiniques (patchs, gommes, tablettes à sucer, …) et des médicaments sur prescription médicale aident à supporter le syndrôme de manque et à vaincre le tabagisme. La prise de poids n’est pas inéluctable. Vous pouvez aussi vous adresser à la Consultation de sevrage tabagique.

Une équipe spécialisée de médecins et d’infirmières peuvent vous aider à élaborer et à mettre en place votre projet d’arrêt du tabac.

Services associés
Chinois - Mexicain - Indien - Japonais - Dialyse et restaurant, c'est possible!

Chinois - Mexicain - Indien - Japonais - Dialyse et restaurant, c'est possible!

CHINOIS

Les aliments de base des chinois sont le riz, les nouilles et les légumes.
On retrouve également le soja et son dérivé, le tofu, et les condiments comme l’ail, le gingembre, l’échalote, le poivre blanc et l’huile de sésame.
La sauce soja et le vinaigre de riz sont également beaucoup utilisés dans la cuisine chinoise.

Quelques plats typiques :

Le canard laqué › Servi avec un assortiment de petits légumes crus et d’une galette de blé.
Les dim sum › Ils se composent d’un ensemble de petites bouchées cuites à la vapeur, au four ou à la friture, ils sont fourrés à la viande ou haricots rouges.
Le Porc sauce aigre douce › Composé de petits morceaux de porc caramélisés, de légumes (poivrons, tomates, oignons) et de fruits (ananas ou pêche), le tout accompagné d’une sauce sucrée et acidulée.
Les nouilles sautées › Plat traditionnel par excellence, ce plat peut être accompagné de différents ingrédients.
Le riz sauté ou riz cantonnais › Riz, petits pois, viande, maïs …
Rouleaux de printemps › Galettes de riz, légumes, fruits de mer …

  • Choisissez un restaurant qui cuisine des plats individuels, plutôt que les établissements qui préparent les plats en grande quantité (les portions y sont souvent plus importantes).
  • Les soupes servies avec le repas sont généralement riches en sodium et peuvent augmenter le volume de liquide.
  • Les légumes sont peu cuits et servis croquant, ils conservent par conséquent leur quantité de potassium.
  • Régalez-vous avec des légumes pauvres en potassium tels que les pois gourmands, les haricots verts, les pousses de soja et le bokchoy (chou de chine).
  • Les viandes sont très souvent marinées dans des sauces à base de glutamate monosodique (MSG) un exhausteur de goût, ce qui rend le plat très salé.
  • Le thé est souvent servi dans une théière à table, contrôlez la quantité versée dans la tasse pour limiter la prise de poids.
  • La cuisine chinoise peut être très élevée en sodium à cause des sauces qui accompagnent les mets, et riche en potassium avec le mode de préparation en cuisine.

 

MEXICAIN

La cuisine mexicaine repose sur quelques fondamentaux tels que le maïs, la tomate, les haricots, l’avocat, les légumes secs et les fruits exotiques. C’est une cuisine pimentée et les sauces sont souvent très épicées.


Quelques plats typiques :

La tortilla › Galette de farine de maïs (nature ou fourrées, garnies d’ingrédients divers tel que de la viande, du poisson, des fruits de mer, des légumes …).
Le taco › Tortilla farcie et roulée.
L’enchilada › Tortilla farcie à la viande émincée ou au fromage, cuite au four dans une sauce pimentée avec de la tomate et des oignons ou gratinée.
Le guacamole › Purée froide d’avocat écrasé, assaisonnée.
L’empanadas › Chaussons de pâtes farcies, frits ou cuit au four que l’on donne généralement en entrée, ils sont farcis à la viande, au poisson, aux fruits de mer, de pommes de terre …


Cuisine tex-mex :

Salade césar › Laitue, croûtons à l’ail, jus de citron, parmesan, oeufs, sel, poivre, sauce worcestershire et huile d’olive.
Chili con carne › Ragout de boeuf haché, oignons, épices, haricot rouges.
Fajitas › Tortilla pliée et remplie de viande ou de fruit de mer, de crudités, condiments.
Salsa › Sauce à base de piments, oignons et tomates.

  • Attention aux salsas, la salsa verde est une sauce verte mais à base de tomates. Suggestion : les salsas préparées à partir de piments sans tomates.
  • Mieux vaut laisser de côté les chips et la salsa qui sont souvent déjà en place sur la table.
  • Petit rappel : le guacamole est préparé avec des avocats et donc riche en potassium.
  • Les tortillas sont des bonnes substitutions au pain.
  • Pour le dessert : régalez-vous avec le flan, ou n'importe laquelle des fabuleuses pâtisseries qui sont pauvres en potassium et en phosphore. Le sorbet est une bonne idée pour terminer le repas sur une note rafraîchissante.
  • La cuisine Mexicaine peut-être très élevée en potassium à cause des légumineuses qui accompagnent les plats de viande, ou les sauces à base de guacamole faites avec de l’avocat.
  • De par l’utilisation des épices et principalement du piment, la cuisine mexicaine peut donner la sensation de soif.

 

INDIEN

Les repas indiens sont à tendance végétariens.
Les épices sont d'une grande importance dans la cuisine indienne. Beaucoup de plats en sauce sont faits à base de masala.


Quelques plats typiques :

Le masala › Mélange d'épices qui caractérise et qu'on nomme souvent curry ou cari.
Le mouton, l’agneau › sont les principales viandes consommées dans la cuisine indienne.
Le riz › l’accompagnement principal reste le riz mais vous trouverez également des légumineuses (pois chiche, lentilles) qui elles sont plus riches en potassium.
Les plats et les desserts › sont souvent composés de fruits oléagineux (noix de cajou, fruits secs…) riches en potassium.

  • N’hésitez pas à demander la composition des plats.
  • Les sauces qui accompagnent les plats sont en général goûteuses grâce aux diverses épices utilisées. Pensez toutefois qu’un plat très épicé peut entraîner une augmentation de la sensation de soif.
  • Un grand nombre de pains indiens (naan) frits, cuits au four ou rôtis sont offerts avec la plupart des repas ou peuvent être commandés à part. Ils font partie d’un bon choix.
  • La cuisine Indienne peut être très élevée en phosphore à cause des yaourts qui sont utilisés pour les sauces ou inclus dans les plats.
  • La plupart des desserts contiennent du lait frais ou en poudre donc riches en Phosphore.

Pensez à prendre votre chélateur de phosphore de manière à profiter pleinement de ce moment de douceur.

 

JAPONAIS

La consommation européenne de la cuisine japonaise est principalement centrée autour des :

Sushis › Riz roulé avec une tranche de poisson comme le saumon, le thon ou l’anguille.
Yakitoris › Brochettes de viande grillée, de fromage ou de poisson.
Makis › La différence avec les sushis réside dans la présentation, les makis sont enroulés dans le riz et le poisson dans une feuille d’algue.
Californias › Déclinaison du maki, le riz étant à l’extérieur de la feuille d’algue.
Sashimis › C’est tout simplement une tranche de poisson cru.
Nouilles › Plat incontournable, il peut s’agrémenter de viande comme du poulet, du boeuf ou du poisson.

  • Le sushi, les makis, les sashimis, les californias sont des bons choix, les aliments qu’ils contiennent sont riches en protéines et en féculents.
  • Le yakitori est un plat également riche en protéines et est cuisiné avec légèreté car les brochettes sont grillées.
  • Toutefois, les sauces qui accompagnent ces mets sont souvent riches en sel, elles sont à consommer de façon modérée.
  • Les soupes proposées (souvent salées), seront à comptabiliser dans les apports liquidiens du repas.
  • Les aliments frits dans de la pâte à tempura sont de bons choix, il faudra juste les tremper en toute discrétion dans les sauces.
  • Le tofu ou gâteau de soja est beaucoup utilisé dans la cuisine japonaise, ils sont un substitut à la viande. Ils sont toutefois souvent cuisinés avec de la sauce de soja pour lui donner du goût.
  • Les spécialistes de steak japonais offrent de bons choix de viande et de légumes grillés.
  • La glace au thé vert est un dessert très populaire et est un substitut au lait.
  • La cuisine japonaise peut être très élevée en sodium à cause des sauces qui accompagnent.

Le poisson (riche en phosphore) est très présent dans les plats proposés :
pensez à prendre vos chélateurs.

 

Ref. : Flyer Conseils au restaurant Dialyse_Ch-Mex-Ind-Jap_Nov 2023

Services associés
Monsieur Christopher Scius

Monsieur Christopher Scius

M Christopher Scius est gestionnaire des plans catastrophe à la cellule qualité et risques.

Il est en charge :

  • De la coordination des plans d’urgence dont l’organisation des exercices et simulation

  • De la coordination du plan de sécurité et de continuité de l’activité (analyse des risques sur base de scénario)

  • Du débriefing clinique

 

Tel. : +352 4411-1915
Email : Scius.Christopher@chl.lu
CHL - CHL

Cellule Qualité et Risques

Fax :
 
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